Voici pourquoi j'ai arrêté de dire que j'étais «vieux»
Le pouvoir des mots! Ce qu'on ne cesse de répéter, les autres finissent par le croire et vous aussi!
Passé 55 ans, j’ai commencé à penser et à me dire «vieux». Je faisais des blagues sur mon âge, me vendant comme «has been». Mais ce que je n’avais pas réalisé, c’est que ce que je disais de moi, les autres ont fini par y croire… et moi aussi.
Petit à petit, les gens autour de moi ont commencé à me dire que certaines choses n’étaient «plus de mon âge», même au travail. Comment j’en étais arrivé là ? C’était clair : j’avais donné le ton moi-même.
J’ai alors décidé d’arrêter de dire que j’étais «trop vieux».
J’ai cessé les blagues sur mon âge, et ça a transformé ma vie. Non seulement les autres ont arrêté de me rappeler mon âge, mais je me sens plus libre, plus énergique, et surtout, plus vivant !
L'âgisme, c'est sournois
Il est là, dans la société, au travail… et même dans nos propres paroles. Mais une fois qu’on en prend conscience, chacun de nous peut changer son discours et son état d’esprit.
𝗖𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗷’𝗮𝗶 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗶𝘀, c’est que nos mots façonnent la manière dont les autres nous perçoivent – et dont on se voit soi-même.
𝗡𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗮𝗶𝘀𝘀𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗲𝗿𝗺𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗹𝗶𝗰𝗵𝗲́𝘀 𝗱’𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝗳𝗼𝗶𝘀. Là où notre société voit dans la séniorité la fin d’un parcours, moi j’y vois un nouveau départ.
Passé 55 ans, l’avenir est à vous et reste grand ouvert.
Et vous, avez-vous déjà ressenti cette pression de l’âgisme ? Comment faites-vous pour changer la perception de l’âge dans votre vie ? Quels sont vos projets post-professionnels ?